BRUXELLES – RÉALITÉ

Good Move? Autopsie du plan de mobilité.

Traduction en italien et en español ci-dessous

Photo extraite du plan Good Move

– Grand père pourquoi les gens veulent-ils vivre en ville ?

– Parce qu’ils préfèrent vivre proche de leur travail, qu’ils aiment la vie en société, profiter des meilleurs spectacles, des expositions, des bons restaurants, des beaux magasins, des beaux monuments, et puis, c’est important quand on vieillit, des meilleurs hôpitaux.

– Oui mais n’y-a-t-il pas aussi la pollution et ce fameux CO2 qui détruit notre planète en réchauffant le climat.

— Bien sûr, mais il s’est avéré par exemple que ce sont surtout les chaudières qui sont coupables, et puis il y a les voitures électriques et bientôt peut-être celles à hydrogène, mais c’est vrai qu’il y a trop de voiture. Puis dis-moi un peu : Pourquoi à Bruxelles, voit-on que des grosses ? Cela ne me parait pas l’idéal pour une grande métropole ?

Ce dialogue avait lieu dans la voiture de ma fille qui tentait de rentrer en ville en venant de Waterloo, où nous avions passé un après-midi dans les fermes des environs pour nous approvisionner en nourriture de qualité et à un prix raisonnable. Nous en reparlerons.

Ma fille vitupérait comme tous les bruxellois sur ce fameux plan Good Move que certains n´hésite pas à qualifier de désastreux. Je viens de le lire, et bien déjà je peux vous garantir qu’il est absolument ennuyeux à lire (même la soi-disant synthèse), de plus il est plein d’incohérences, de contradictions et d’affirmations inexactes. J’en suis certain, bien peu doivent l’avoir lu.

Dans l’ensemble, de toute manière on comprend que le credo de ceux qui l’ont conçu est simplement : Vive la marche à pied et Vive la bicyclette. On oublie les personnes âgées, à mobilité réduite, disons-le clairement ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas être sportifs.

Trop facilement on ne parle pas des périlleuses trottinettes, ou bien on enterre le problème, et ici on passe au futur : il y aura des transports publics nombreux, facile à utiliser et on supprimera les barrières architectoniques pour pouvoir utiliser des petites voiturettes électriques. Continuera-t-on aussi à construire à grand frais des parkings de dissuasion qui restent déserts malgré la gratuité ? Continuera-t-on à créer des immenses zones piétonnières pour obtenir la fuite du commerce dédié au citoyen et que ne manquent pas d’occuper de jour les boutiques pour touristes et de nuit les vendeurs de drogue ou de services d’autre nature.

Un des concepts théoriques de Good Move est de réduire le trafic dit de transit dans les zones dites apaisées au moyen de verrous vers des axes dits structurants, déjà fortement encombrés. L’objectif de ce dispositif des “mailles” de congestion n’est ni de fluidifier, ni de déplacer le trafic de transit mais bien de modifier ce trafic. Il s’agit clairement de créer un environnement hostile aux voitures en en réduisant l’espace de circulation afin de forcer, un changement de mode, le fameux «shift modal”. En compliquant la vie des bruxellois, en rendant leurs trajets en voiture difficiles, voire impossibles, en les bloquant dans des embouteillages à une centaine de mètres de chez eux, on les contraint à arrêter de rouler en voiture et à préférer le vélo.

La stupide idée de tenter de dégoûter les gens de la voiture ne permet aucune sélection, et ainsi les taxis, les véhicules de secours, le car sharing, les voitures électriques et de petites dimensions sont elles-mêmes pénalisées. Seule la réduction de la vitesse peut avoir un sens.

De toute manière il ne faut pas faire de la ville un lieu campagnard, il y a suffisamment de parcs et même un bois qui est une véritable forêt. Il ne faut pas condamner les Bruxellois qui n’en peuvent plus, de fuir de la ville pour y accueillir des fonctionnaires internationaux, des touristes ou des émigrants. Ceux qui ainsi iront vivre à la campagne devront alors avoir une voiture, peut-être de grosse cylindrée, parce que là-bas c’est indispensable, et eux aussi ils ne se feront pas convaincre par les parking aux portes de Bruxelles.

En plus, dans le cas de Bruxelles ceinturée constitutionnellement par la région flamande et même wallonne, on ne peut pas gérer harmonieusement et en équilibre économique une périphérie verte et de détente.

Décidément, on devrait changer son nom en Bad Move !

Jean Claude Fonder – BRUXELLES – RÉALITÉ
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– Nonno, perché la gente vuole vivere in città?

– Perché preferiscono vivere vicino al lavoro, che amano la vita sociale, godere dei migliori spettacoli, mostre, buoni ristoranti, bei negozi, bei monumenti, e poi, è importante quando si invecchia, dei migliori ospedali.

– Sì, ma non c’è anche l’inquinamento e la famosa CO2 che distrugge il nostro pianeta riscaldando il clima.

– Certo, ma si è scoperto per esempio che sono soprattutto le caldaie ad essere colpevoli, e poi ci sono le auto elettriche e presto forse quelle a idrogeno, ma è vero che c’è troppe macchine. Perché a Bruxelles si vedono solo grandi? Non mi sembra l’ideale per una grande metropoli?

Questo dialogo si svolgeva nella macchina di mia figlia che cercava di tornare in città venendo da Waterloo, dove avevamo trascorso un pomeriggio nelle fattorie vicine per rifornirci di cibo di qualità e ad un prezzo ragionevole. Ne riparleremo più tardi.

Mia figlia era come tutti gli abitanti di Bruxelles su questo famoso piano Good Move che alcuni non esitano a definire disastroso. Lo ho appena letto, e posso già assicurarvi che è assolutamente noioso da leggere (anche la cosiddetta sintesi), inoltre è pieno di incoerenze, contraddizioni e affermazioni inesatte. Sono sicuro che pochi l’abbiano letto.

Nel complesso, comunque si comprende il credo di chi lo ha progettato è semplicemente: Viva la camminata e Vive la bicicletta. Si dimenticano gli anziani, a mobilità ridotta, diciamo chiaramente quelli che non possono o non vogliono essere sportivi.

Troppo facilmente non si parla dei pericolosi monopattini, o si seppellisce il problema, e qui si passa al futuro: ci saranno molti trasporti pubblici, facile da usare e si elimineranno le barriere architettoniche per poter utilizzare piccoli carri elettrici. Si continuerà anche a costruire a caro prezzo parcheggi dissuasioni che rimangono deserti nonostante la gratuità? Si continueranno a pedonalizzare zone immense per ottenere la fuga del commercio dedicato al cittadino e che non mancano di occupare di giorno i negozi per turisti e di notte i venditori di droga o di servizi di altra natura.

Uno dei concetti teorici di Good Move è quello di ridurre il cosiddetto traffico di transito nelle cosiddette zone pacificate mediante serrature verso i cosiddetti assi strutturali, già fortemente congestionati. L’obiettivo di questo dispositivo delle «maglie» di congestione non è né di fluidificare né di spostare il traffico di transito, ma di modificare tale traffico. Si tratta chiaramente di creare un ambiente ostile alle auto, riducendone lo spazio di circolazione per forzare, un cambio di moda, il famoso «shift modal«. Complicando la vita dei brussellesi, rendendo i loro viaggi in auto difficili, se non impossibili, bloccandoli in ingorghi a un centinaio di metri da casa, si costringe a smettere di guidare e a preferire la bicicletta.

La stupida idea di provare a disgustare le persone dall’auto non permette alcuna selezione, e così i taxi, mezzi di soccorso, il car sharing, le auto elettriche e di piccole dimensioni sono essi stessi penalizzati. Solo la riduzione della velocità può avere un senso.

Ad ogni modo, non bisogna fare della città un luogo simile alla campagna, ci sono abbastanza parchi e anche un bosco che è una vera foresta. Non bisogna condannare i brussellesi che non ne possono più, di fuggire dalla città per accogliere funzionari internazionali, turisti o emigranti. Coloro che così andranno a vivere in campagna dovranno avere un’auto, forse di grossa cilindrata, perché lì è indispensabile, e anche loro non si faranno convincere dai parcheggi alle porte di Bruxelles.

Inoltre, nel caso di Bruxelles cinta costituzionalmente dalla regione fiamminga e anche vallone, non si può gestire armoniosamente e in equilibrio economico una periferia verde e di relax.

Decisamente, dovremmo cambiare il suo nome in Bad Move!

– ¿Abuelo, por qué la gente quiere vivir en la ciudad?

– Porque prefieren vivir cerca de su trabajo, disfrutar de la vida en sociedad, disfrutar de los mejores espectáculos, exposiciones, buenos restaurantes, hermosas tiendas, hermosos monumentos, y, además, es importante cuando uno envejece, de los mejores hospitales.

– Sí, pero también hay contaminación y el famoso CO2 que destruye nuestro planeta calentando el clima.

– Por supuesto, pero resultó, por ejemplo, que son sobre todo las calderas las culpables, y luego están los coches eléctricos y pronto quizás los con hidrógeno, pero es cierto que hay demasiados coches. Entonces dime un poco: ¿Por qué en Bruselas sólo vemos grandes? ¿No me parece esto ideal para una gran metrópolis?

Este diálogo tuvo lugar en el coche de mi hija, que intentaba volver a la ciudad desde Waterloo, donde pasamos una tarde en las granjas de los alrededores para abastecernos de alimentos de calidad y a un precio razonable. Ya hablaremos de eso.

Mi hija vituperaba como todos los bruselenses sobre este famoso plan Good Move que algunos no dudan en calificar de desastroso. Acabo de leerlo, y bien puedo asegurarles que es absolutamente aburrido de leer (incluso la llamada síntesis), además está lleno de incoherencias, contradicciones y afirmaciones inexactas. Estoy seguro de que pocos lo han leído.

En general, de todos modos, se comprende el credo de quienes lo han concebido es simplemente: Viva la caminata y Viva la bicicleta. Olvidamos a las personas mayores, a las personas con movilidad reducida, digamos claramente que no pueden o no quieren ser deportistas.

Demasiado fácilmente no se habla de las peligrosas patinetas, o bien se entierra el problema, y aquí se pasa al futuro: habrá transportes públicos numerosos, fácil de usar y se eliminarán las barreras arquitectónicas para poder utilizar pequeños carritos eléctricos. ¿Se seguirán construyendo, a un alto coste, aparcamientos de disuasión que siguen desiertos a pesar de la gratuidad? Continuaremos con la pednalización de zonas inmensas para obtener la fuga del comercio dedicado al ciudadano y que no dejan de ocupar de día las tiendas para turistas y de noche los vendedores de droga o de servicios de otra naturaleza.

Uno de los conceptos teóricos de Good Move es reducir el llamado tráfico de tránsito en las llamadas zonas tranquilas por medio de bloqueos hacia los llamados ejes estructurantes, ya congestionados. El objetivo de este dispositivo de las «mallas» de congestión no es ni fluidificar ni desplazar el tráfico de tránsito, sino modificar dicho tráfico. Se trata claramente de crear un entorno hostil a los coches reduciendo el espacio de circulación para forzar, un cambio de moda, el famoso «cambio modal«. Complicando la vida de los bruselenses, dificultando o incluso imposibilitando sus trayectos en coche, bloqueándolos en atascos de tráfico a un centenar de metros de su casa, se les obliga a dejar de conducir y a preferir la bicicleta.

La estúpida idea de tratar de disgustar a la gente con el coche no permite ninguna selección, por lo que los taxis, los vehículos de emergencia, el car sharing, los coches eléctricos y de pequeñas dimensiones son penalizados. Sólo la reducción de la velocidad puede tener sentido.

De todos modos, no hay que hacer de la ciudad un lugar rural, hay suficientes parques e incluso un bosque que es un verdadero bosque. No hay que condenar a los bruselenses, que ya no pueden, a huir de la ciudad para acoger a trabajadores internacionales, turistas o emigrantes. Los que así vayan a vivir al campo deberán tener un coche, quizás de gran cilindrada, porque allí es idispensable, y tampoco ellos se dejarán convencer por los estacionamientos a las puertas de Bruselas.

Además, en el caso de Bruselas, rodeada constitucionalmente por la región flamenca e incluso valona, no se puede gestionar armoniosamente y en equilibrio económico una periferia verde y de relajación.

¡Deberíamos cambiar su nombre por Bad Move!